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Paraphysique du despotisme subtil et manifeste

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” Imposer le voile à la femme est la plus dure et la plus horrible forme d’esclavage, c’est
quand même étonnant. Pourquoi ne demande t-on pas aux hommes de porter le voile
ou de dérober leurs visages aux regards des femmes s’ils craignent de les séduire, la
volonté masculine serait-elle inférieure à celle de la femme ”

Qasim Amin ( 1865 – 1908 ) penseur féministe égyptien

Il faut bien le dire
Car à bien y réfléchir
Vivre est devenu un travail
Toutes les facettes, tous les éventails
Comme faire ses courses
De plus, il faut sortir sa bourse
Comme l’activité du militant
Qui est un travail à plein temps
Tout est travail, tout est labeur
Rétribué ou pas, à tant de l’heure
Mais le plus souvent
Aucune rétribution rime avec fainéant
Ou avec parasite ou avec mendiant
Une grande injustice
Dans ce monde qui récompense le vice
Car quoi de plus fatigant
Car quoi de plus humiliant
Que d’être mendiante ou mendiant
Un travail dur et harassant
Avec souvent des regards méprisants
Ou au mieux des regards indifférents
L’organisation du capital ( oui, un petit c ) est mesquine
Qui se veut intouchable, inchangeable, divine
Pourtant, c’est sa propre inhumanité qui la mine !
Et dans tous les milieux
Moi, toi, ils, elles, eux
Il ne faut pas parler de ses problèmes
Car personne, sinon, ne nous aime
De son couple en perdition
De sa misère, de ses émotions
Il faut tout garder pour soi
Le capital en fait une loi
Ou alors
Il y a des spécialistes
Avec la psychiatrie en tête de liste
Il faut donc payer
Pour simplement être écouté
Personne d’autre
Ne le peut plus
Personne d’autre
Ne le veut plus
Extérieurement
Nous faisons les belles et les beaux
Mais intérieurement
Rien ne va plus, tout prend l’eau
Ou l’on fait avec
Comme toutes les nanas, comme tous les mecs
Et puis, cela fait bien
De toujours dire, je vais bien
La peur de passer, pour une crétine, un crétin
Alors que c’est du local au général
Sous le capitalisme, tout va forcément mal !
Toute société
Est à l’image de ses diverses misères
Toute société
Est à l’image de ses faits divers
Toute une production
De la pensée réactionnaire
Toute une promotion
Pour l’intelligence déficitaire
Avec toute une panoplie
Qui tous les jours, nous chie et nous écrit
Des écrivains, des savants, des sportifs, des peintres, des poètes
Politiciennes et politiciens, assassins et voleurs, pourriture infecte
La contre-révolution a son pense-bête
Et déjà une prévision de remplacement
Dans la contestation, ils avancent masqués les futurs tyrans
De plus, chacune et chacun
Ne voyant que midi à sa porte
L’heure du capital, de la sorte
Tu peux crever dans ton coin
Pourtant
Et plus que jamais
La marchandise nous abrutit de ses méfaits
La domination met tout hors-la-loi
Quant tout est en interdiction
Sauf à chausser les patins de la réaction
Distribuer des tracts et c’est la prison
Manifester, faire grève, et c’est la condamnation !
Ce qui va devenir banal
Sous le fascisme libéral du capital
Il ne faut pas imaginer autre chose
L’amende, la prison, se révolter, pour qui ose
Du capital, c’est la seule valeur et la seule cause
Et puis
Toutes les diverses bourgeoisies
De toutes les révoltes, font du profit
Elles en font de l’idéologie
Comme en 1973, en Tunisie
Avortement légalisé, féminisme d’Etat
Pour freiner tous les débats
Il était futé le Bourguiba
Pays à part du monde arabe
Comme partout aussi, un panier de crabes
Certes
Il y eut la grandiose chanteuse actrice, feu ( 1898 – 1975 ) Oum Kalthoum
Idole égyptienne et du nassérisme, un délice, un loukoum
Mais, cependant, sans cesse
Comme la colique qui sort des fesses
Le fascisme religieux ou le fascisme laïc
Imposent leur indéfectible arithmétique
En Europe, en Orient, en Russie, en Asie, en Amérique
Mais aussi de la résistance, plus éthique
Là où on le peut
Comme on le peut
Rien n’est peu
Voilà les femmes kurdes du Kurdistan syrien
Contre le fascisme religieux, cela n’est pas rien
Et un objectif égalitaire dans son sein !
Donc, des femmes du YPJ
Quand chaque jour est le jour J
Prêtes à mourir pour pouvoir vivre
Prêtes à vivre pour pouvoir mourir
La liberté, la laïcité, l’égalité
De l’Occident ne naissent pas les idées
Pas plus que de tel ou tel continent
Ce que propage un fascisme religieux, mécontent
Déjà, bientôt
Se véhicule encore et toujours, le faux
Tout ce qui conteste l’ordre social
Est déclaré anormal ou illégal
Tout doit se déclarer en préfecture
Dans un système où tout alimente l’ordure !

” Ce ruissellement a endommagé les armoires électriques commandant
la voie A du système de protection du réacteur RPR ”

Accident du 9 avril 2014
Centrale nucléaire de Fessenheim

Dans chaque pays
L’on entretient les conflits
C’est la fête aux héros des guerres
Cela entretient l’esprit militaire
Déjà, dès l’école, le tout va-t-en-guerre !
En Allemagne
Qui fut un temps, gigantesque bagne
Il y eut feu ( 1892 – 1918 ) Manfred von Richthofen
Dont le culte n’est jamais en peine
Cet aristocrate fameux pilote de chasse
80 victoires homologuées, petite tuerie de masse
Pas de pitié pour les ennemis aviateurs
De ce nazi avant l’heure
Pour l’ennemi, une balle dans la tête
Ou autre façon qui débecte
La guerre c’était sa vie
Pas la moindre petite amie
Satisfaire son égo, être admiré et aimé
Dans son Fokker rouge, son triplan redouté
Avec sa mitrailleuse synchronisée
Star de son époque
De la simple moralité, l’on se moque
Et toute une mythologie en toc
Toute mythologie, la réalité, la défroque
Enfin, abattu, le 21 avril 1918
Par une troupe australienne au sol
Aucune commémoration ne s’en console
Il fut médaillé pour ses trophées
Ce qui en dit long sur une société
Ce qui est répété dans le monde entier
Il faut tuer, exploiter, oppresser, dominer
Il faut tout cela, pour être admiré et aimé !
Nul besoin
D’être un sémanticien
Car nous sommes la vie du langage
Malgré tous les pays, un même bagage
Des mots de domination
Aussi bien les mots de la fausse contestation
Des mots de soumission
Aussi ceux de la fausse révolution
Des mots du travail
Nous sommes le bétail
Des mots de bonheur
Qui sentent le malheur
Comme le mot couple
Mot passe-partout, mot souple
Mais c’est si souvent la guerre
Qu’il vaut mieux parfois vivre en solitaire
Le mot oiseau
Qui ne disparaît pas comme le moineau
Dans le monde 34 espèces de moineaux
3000 plumes, 22 grammes
Pour eux, en Chine, ce fut un drame
Une campagne d’extermination sous feu le tyran Mao
2 milliards de moineaux
Certes, plus aucune prédation pour le riz
Mais à la place, des nuisibles , mal lui en a pris
Aujourd’hui, le moineau menacé à cinquante pour cent
Le capitalisme RAVAGE à tous les instants !
Sans compter la crue centennale
Une catastrophe attendue par le capital
Franciliens, franciliennes
Parisiens, parisiennes
800.000 personnes inondées
L’on commence à s’y préparer
Plus de métro, plus de train
L’empêcher serait totalement vain
Demain ou après-demain, un peu plus lointain
Trois jours pour s’y préparer
Car avant, impossible de le deviner
Une prévision des catastrophes
Aucune n’est plus d’apostrophe
De l’inondation, du nucléaire, du terrorisme
C’est la gestion du capitalisme
Car, de toutes façons
Au pire, Il faut préparer les populations
Tout étant du domaine du possible
Manipulation et intoxication, contrôle, pour du prévisible
Expérimentation générale pas impossible !
Et une évacuation déjà prévue
Hôpitaux, maisons de retraite, comme une guerre attendue
Et le touriste qui n’avait rien prévu
Et pour la tyrannie bien planquée, du déjà vu !
Les pieds dans l’eau
La centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine, un gros mot
Sans doute, l’armée, pour éviter les pillages et les débordements
Et de certaines perspectives, un renversement
Déjà, une crise planifiée
Dedans, au moins 40 milliards d’euros seront sacrifiés
Donc, Paris et autour, sous les eaux
C’est une réalité, c’est pour bientôt
Où l’on nous prend pour des gogos
Avec notre crédulité, c’est encore du yoyo
Le vrai encore un moment du faux
Au moins neuf mètres de haut
Pour la misère rien n’est beau
En faire un moment de contestation
En faire un moment de redistribution
Ou le moment sera terrifiant
Ou le moment sera dément !

Patrice Faubert ( 2016 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l’invité sur ” hiway.fr ”

“Imporre il velo alle donne è la forma più duro e più orribile della schiavitù è
ancora sorprendente. Perché non stiamo chiedendo agli uomini di indossare il velo
o nascondere i loro volti alla vista delle donne, se hanno paura di sedurre la
maschio lei sarà inferiore a quello delle donne ”

Qasim Amin (1865 – 1908) pensatore femminista egiziana

Va detto
Perché sulla riflessione
Vivere è diventato un lavoro
Tutti gli aspetti, tutti i fans
come lo shopping
Inoltre, egli deve lasciare la sua borsa
Poiché l’attività di militanti
Che è un lavoro a tempo pieno
Tutto funziona, tutto è un lavoro duro
Pagati o meno, per il tempo
Ma più spesso
Nessuna tassa rima con pigro
O parassita o mendicante
Una grande ingiustizia
In questo mondo che premia il vice
Per ciò che è più faticoso
Per quello che potrebbe essere più umiliante
Che essere un mendicante o accattonaggio
Un lavoro duro e faticoso
Spesso con gli sguardi sprezzanti
O gli occhi nella migliore delle ipotesi indifferenti
L’organizzazione della capitale (sì, una piccola c) è meschino
Chi vuole intoccabile, immutabile, divina
Eppure è proprio il mio disumanità!
E in tutti gli ambienti
Io, tu, loro, loro, li
Non parlare dei suoi problemi
Per nessun altrimenti non come noi
Il suo matrimonio in crisi
Della sua miseria, le sue emozioni
Dobbiamo tenere tutto per te
La capitale rende legge
o
Ci sono specialisti
Con la psichiatria in cima alla lista
Dobbiamo quindi prestare
Per essere semplicemente ascoltato
altro
Può fare di più
altro
Fare la maggior parte dei bisogni
esternamente
Facciamo bella e fine
ma dentro
Niente potrà fare di più, tenendo in acqua
O facciamo con
Come tutte le ragazze, come tutti i ragazzi
E lo fa bene
Per dire sempre, sto bene
La paura di passare per un idiota, un idiota
Mentre che è locale al generale
Sotto il capitalismo, tutto è necessariamente un male!
ogni azienda
È l’immagine delle sue varie miserie
ogni azienda
È l’immagine dei suoi vari fatti
qualsiasi produzione
Di pensiero reazionario
ogni promozione
Per l’intelligenza deficit
Con una gamma
Che ogni giorno, Craps e abbiamo scritto
Scrittori, studiosi, atleti, artisti, poeti
I politici e politici, assassini e ladri, infetta rot
La contro-rivoluzione ha il suo promemoria
E già una previsione alternativa
In segno di protesta, avanzano tiranni futuri mascherati
Inoltre, ogni
Vedendo solo i propri interessi
Il tempo del capitale, così
Si può morire nel vostro angolo
ancora
E più che mai
Ci stupisce la merce dei suoi misfatti
Il predominio mette tutto off-the-legge
Come tutto è in divieto
Tranne che per mettere su le pastiglie di reazione
Distribuire volantini ed è in prigione
Dimostrare, colpire, e questa è la condanna!
Che ne sarà diventato un luogo comune
Sotto la capitale liberale fascismo
Non dobbiamo immaginare nulla
La multa, prigione, ribelle, che osa
Il capitale è l’unico valore e l’unica causa
poi
Tutte le varie borghesie
Tutte le rivolte, fanno profitto
Fanno ideologia
Come nel 1973, la Tunisia
l’aborto legalizzato, il femminismo stato
Per frenare tutti i dibattiti
Era intelligente Bourguiba
Paesi, ad eccezione del mondo arabo
Come ovunque come un vaso di Pandora
per ammissione
C’era il fuoco grande cantante attrice (1898 – 1975) Oum Kalthoum
idolo egiziana e nasserismo, un piacere, un piacere turco
Ma, tuttavia, costantemente
Come coliche esce glutei
fascismo religioso o secolare fascismo
Impongono la loro aritmetica incrollabile
Europa, Medio Oriente, Russia, Asia, America
Ma anche di resistenza, più etica
Dove si trova la lattina
Come la lattina
Nulla è poco
Che le donne curde del Kurdistan siriano
Contro il fascismo religioso, questo non è niente
E ‘obiettivo egualitaria nel suo grembo!
Pertanto, le donne di YPJ
Quando ogni giorno è il grande giorno
Pronti a morire per vivere
Pronto a vivere per morire
Libertà, laicità, uguaglianza
idee occidentali non nascono
Non più di quanto questo o quel continente
Che si propaga fascismo religioso, insoddisfatto
già presto
Se ancora e il veicolo nuovo, falso
Tutto ciò che sfida l’ordine sociale
Viene dichiarata illegale o anormale
Tutto deve dichiarare la prefettura
In un sistema in cui tutti i poteri della spazzatura!

“Questo deflusso ha danneggiato armadi elettrici comandante
canale Un sistema di protezione del reattore RPR ”

Incidente di 9 aprile 2014
centrale nucleare Fessenheim

In ogni paese
Il conflitto viene mantenuta
E ‘partito gli eroi delle guerre
Ciò mantiene lo spirito militare
Già a scuola, tutti di andare in guerra!
Germania
Che era un tempo, un gigantesco carcere
C’era il fuoco (1892 – 1918) Manfred von Richthofen
Il cui culto non è mai in perdita
Questo famoso aristocratico pilota da caccia
80 vittorie confermate, piccolo uccisione di massa
Nessuna pietà per gli aviatori nemici
Questa nazista prima volta
Per il nemico, colpito alla testa
O un altro modo che débecte
La guerra era la sua vita
Non la minima fidanzata
Soddisfare il suo ego, per essere ammirato e amato
Nel suo Fokker triplano rosso suo temuto
Con una mitragliatrice sincronizzata
Stella della sua epoca
Da semplice morale, deriso
E tutta una mitologia toc
Tutti mitologia, la realtà, castoff
Infine, avvilito, 21 aprile 1918
Con un terreno di compagnia australiana
No commemorazione consolerà
E ‘stato medaglia per i suoi trofei
E ‘la dice lunga su una società
Che si ripete in tutto il mondo
Dobbiamo uccidere, sfruttare, opprimere, dominare
Dobbiamo tutti, per essere ammirato e mi è piaciuto!
Non c’è bisogno
Essendo un semantician
Perché noi siamo la vita del linguaggio
Nonostante tutti i paesi, la stessa dei bagagli
il dominio delle parole
Entrambe le parole della falsa contestazione
Presentazione delle parole
Anche quelli della falsa rivoluzione
canali di lavoro
Siamo bestiame
Parole di felicità
Che si sentono la sfortuna
Come la coppia di parole
Catch-all, parola flessibile
Ma così spesso la guerra
A volte è meglio vivere da soli
La parola uccello
Che non scompare come il passero
Nel mondo 34 specie di passeri
3000 piume, 22 grammi
Per loro, la Cina, è stato un dramma
Un incendio nel tiranno campagna di sterminio Mao
2 miliardi di passeri
Certamente non più predazione sul riso
Ma invece, dannoso, il male lo ha portato
Oggi, il passero ha minacciato di cinquanta per cento
Il capitalismo HAVOC in ogni momento!
Oltre il diluvio cento anni
Un disastro atteso dal capitale
Ile, Ile
Paris, Paris
800.000 persone allagate
Quello comincia a preparare
Più Treno della metropolitana più
La fermata sarebbe del tutto vano
Domani o il giorno successivo, un po ‘più lontana
Tre giorni per preparare
Perché prima, impossibile indovinare il
Una previsione disastro
Nessuno è più apostrofo
L’alluvione, nucleare, il terrorismo
E ‘la gestione del capitalismo
Perché, in ogni caso
Nel peggiore dei casi, deve preparare le persone
Pur essendo il regno delle possibilità
Manipolazione e avvelenamento, il controllo per il prossimo
sperimentazione generale non impossibile!
E evacuazione già previsto
Ospedali, case di cura, come una guerra atteso
E il turista che non aveva nulla in programma
E per una buona tirannia Stashed, déjà vu!
il lungomare
NPP Nogent-sur-Seine, una parolaccia
Non c’è dubbio che l’esercito per evitare saccheggi ei disordini
E certo prospettiva, un capovolgimento
Già una crisi pianificata
Al suo interno, almeno 40 miliardi di euro saranno sacrificati
Così Parigi e in giro, sotto l’acqua
E ‘una realtà, è in arrivo
Dove ci porta per gli idioti
Con la nostra credulità è ancora il yoyo
Il vero ancora un momento del falso
di almeno nove metri
Per la miseria non c’è niente di bello
Fare un punto di controversia
In un tempo di ridistribuzione
O il tempo è terrificante
O il tempo è pazzo!

Patrice Faubert (2016) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat dice l’ospite “hiway.fr”


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