Dix mille nouvelles espèces
Découvertes chaque année
384 espèces de poissons électriques
Et feu ( 1882-1969 ) Emile Anthoine
Une espèce en voie de disparition
Aux performances actuelles, il dame le pion
10h15 pour 100 km de marche
7h25 pour 100 km de course
Mais c’était en 1902, c’est la frousse
Aux chronomètres rangés dans nos trousses
En 2013, des temps qui sont encore au top !
Mais un jour, la mort lui dit stop
En 1926, il fonda Paris-Strasbourg, marche de grand fond
Mais la machine humaine a ses limites
Avec ou sans dopage, un record a ses rites
Si nous pouvions
Ressentir ce que les autres ressentent
Dans nos chairs, sans les mots qui mentent
Si nous pouvions
Savoir quand les autres mentent
Si nous pouvions
Recueillir toutes leurs confidences
Si nous pouvions
Imaginer toutes les violences
Si nous pouvions
Vivre toutes les souffrances
La bonté nous submergerait
Immédiatement tout changerait !
Nous nous remplirions
De tous les bonheurs
Au lieu de nous remplir
De tous nos malheurs
C’est ainsi
Qu’en écrivant
Nous nous vidons
C’est ainsi qu’en peignant
Nous nous vidons
C’est ainsi qu’en jouant de la musique
Du sport et autres mimiques
Comme la maladie politique
Nous nous vidons de ce que nous sommes
De nos vies, nous faisons un somme !
Les choses vraiment étonnantes
Sont passées sous silence
En sport, en politique, en art, en science
Comme ( né en 1928 ) le marcheur Robert Schoukens
Qui à l’âge de 85 ans, ô étonnante prouesse
2h 54minutes pour 21km500, à 7,682 de l’heure
Un piéton rapide est à 6 de l’heure
Record sans aucune ferveur
Trop paraphysique, pas assez spectaculaire, le marcheur
La bourgeoisie sportive
N’aime que le football, le rugby
Où toute l’imagination est captive
Pour un seul objectif, le premier prix
Le sport
Est aux mains des bourgeoisies
Avec son dopage qui est sa lie
De l’amateurisme, il n’y a plus l’esprit
Il faut gagner à n’importe quel prix
En toutes activités, tout est concurrentiel
Tout ce qui fait notre monde démentiel !
Tout être humain
Devrait en valoir un autre
Mais en vérité, il n’en est rien
De la hiérarchie des humains, trop d’apôtres
Et pourtant
Dans nos discours trompeurs
L’égalité, reçoit toutes les faveurs
Et nous faisons parler
Des dominantes et des dominants
Celles et ceux du moment
Les autres doivent se taire
Les autres doivent laisser faire
Et toujours sont invités
A la radio, à la télévision
Des dominantes et des dominants
Celles et ceux du moment
Les autres doivent se taire
Les autres doivent laisser faire
Ils et elles ne peuvent s’exprimer
Elles et ils ne peuvent être écoutés
A part voter
Ce qui équivaut à ramper !
Les dominantes et les dominants
D’une époque, d’un lieu, d’un moment
Artistes, écrivains, sportifs, savants, journalistes
Qui sur la réalité, sont forcément des ignorants
Le droit de parler
Le droit d’être écouté
Ce sont les dominantes et les dominants
Celles qui croient tout savoir
Ceux qui croient tout savoir
Et qui ne sont que les autres
Tous les savoirs des autres !
Halte à l’imposture
A la conscience, c’est une déchirure
D’autant plus
Que 95 pour cent de l’Univers
Nous est complètement inconnu
Plus encore que la composition de l’air
Avec les organismes pluricellulaires
Du Gabon, il y a environ 2 milliards d’années…
Et ce qui est poison au départ
Est bienfait à l’arrivée
Et notre composition de l’air
Avec 21 pour cent d’oxygène
L’effet yoyo est sans gène
Comme la danse des abeilles
Des abeilles, des dialectes, pure merveille
Les pensées de nos mots
Sont les mots de nos pensées
Des mots de la hiérarchie
Des mots de la compétition
Des mots de toutes les bourgeoisies
Moi, toi, eux, elles, lui
Les mots sont attachés à des idées
Sous des tutelles, il faut les délivrer !
Beaucoup de gens
Disent les mêmes choses
Avec des mots différents
Séparation, comparaison, compétition
Beaucoup de gens
Disent des choses différentes
Avec des mots semblables, à la signification récurrente
Séparation, comparaison, compétition
La ( Suncus étruscus ) musaraigne étrusque
Si extraordinairement petite, ( 3 à 5 cm / 2 g ) que tout mot l’offusque
A ce qui est, tout mot truque !
Comme les gens de notoriété
Qui devraient dénoncer toutes les inégalités
Au lieu de s’y étaler
Ce qui démontre une vénale complicité !
Tout ce qui paraît dans le spectacle
Partie prenante, à sa critique, il renâcle !
Toutes les prostitutions
Naissent de la misère matérielle
Affective et sexuelle
Car il faut bien manger
Il faut boire, il faut forniquer
Et ainsi, travailler est une obligation
Travaux forcés à perpétuité
Ou alors c’est la déportation
Dans le chômage, dans la pauvreté, dans la prison, dans la mendicité
Mais si nous en croquons
Bien sûr nous nous taisons !
La sexualité assouvie et épanouie
Sauf dans l’anarchie
C’est pour les riches
Ou alors, cela serait l’anarchie
Toutes et tous dans la même niche !
Savants, artistes, sportifs, vedettes
Complices du capitalisme en fête
De toutes les horreurs, ils et elles sont la dette
Le mensonge spectaculaire se lit sur leurs têtes
Et qui sans sourciller est à son écoute
Ne fait que tracer sa route
Patrice Faubert ( 2013 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l’invité sur ” hiway.fr ”
Dieci mille nuove specie
Scoperte ogni anno
384 specie di pesci elettrici
E fuoco (1882-1969) Emile Anthoine
Una specie in via di scomparsa
Alle prestazioni attuali, pianta il sorvegliante
10:15 per 100 km di marcia
7:25 per 100 km di corsa
Ma era nel 1902, è la fifa
Ai cronometri sistemati nei nostri casi
Nel 2013, tempi che sono ancora al segnale!
Ma un giorno, la morte gli dice stop
Nel 1926, fondò Parigi-Strasburgo, marcia di grande fondo
Ma la macchina umana ha i suoi limiti
Con o senza doping, un record ha i suoi riti
Se potessimo
Considerare ciò che gli altri considerano
Nelle nostre carni, senza le parole che mentiscono
Se potessimo
Sapere quando gli altri mentiscono
Se potessimo
Raccogliere tutte le loro fiduce
Se potessimo
Immaginare tutte le violenze
Se potessimo
Vivere tutte le sofferenze
La bontà li sommergerebbe
Immediatamente tutto cambierebbe!
Ci riempiremmo
Di tutte le felicità
Anziché riempirli
Di tutte le nostre disgrazia
È così
Che scrivendo
Ci svuotiamo
Così pettinando
Ci svuotiamo
Così giocando della musica
Dello sport ed altre mimiche
Come la malattia politica
Ci svuotiamo di ciò che siamo
Delle nostre vite, facciamo somma!
Le cose realmente stupefacenti
Sono passate sotto silenzio
In sport, in politica, in arte, in scienza
Come (nato nel 1928) il camminatore Robert Schoukens
Chi all’età di 85 anni, ô prodezza stupefacente
2:54 minuti per 21km500, a 7,682 dell’ora
Un pedone rapido è a 6 dell’ora
Record senza alcuno entusiasmo
Troppo paraphysique, non abbastanza spettacolare, il camminatore
La borghesia sportiva
Ama soltanto il calcio, il rugby
Dove tutta l’immaginazione è prigioniera
Per un solo obiettivo, il primo prezzo
Lo sport
È alle mani delle borghesie
Con il suo doping che è la sua scoria
Del dilettantismo, non c’è più lo spirito
Occorre guadagnare a qualsiasi prezzo
In qualsiasi attività, tutto è concorrenziale
Tutto e questo fa il nostro mondo demenziale!
Ogni essere umano
Dovrebbe valerne un altro
Ma in verità, non è così
Della gerarchia degli umani, troppi apostoli
E tuttavia
Nei nostri discorsi ingannevoli
L’uguaglianza, riceve tutti i favori
E facciamo parlare
Motivi dominanti e dominanti
Quelle e quelli del momento
Gli altri devono tacersi
Gli altri devono lasciare fare
E sempre sono invitati
Alla radio, alla televisione
Motivi dominanti e dominanti
Quelle e quelli del momento
Gli altri devono tacersi
Gli altri devono lasciare fare
e non possono esprimersi
Esse e non possono essere ascoltati
Oltre a votare
Ciò che equivale a strisciare!
I motivi dominanti ed i dominanti
Di un’epoca, di un luogo, di un momento
Artisti, scrittori, sportivi, scienziati, giornalisti
Chi sulla realtà, sono inevitabilmente ignari
Il diritto di parlare
Il diritto di essere ascoltato
Sono i motivi dominanti ed i dominanti
Coloro che credono tutto di sapere
Coloro che credono tutto di sapere
E che sono soltanto i diversi
Tutte le conoscenze delle altre!
Fermata all’impostura
Alla coscienza, è uno strappo
Tanto più
Che 95 percenti dell’universo
C’è completamente sconosciuto
Più ancora della composizione dell’aria
Con gli organismi pluricellulari
Del Gabon, là ha circa 2 miliardi di anni…
Ed e questo è veleno alla partenza
È vantaggio all’arrivo
E la nostra composizione dell’aria
Con 21 percenti d’ossigeno
L’effetto yoyo è senza gene
Come la danza degli api
Api, dialetti, meraviglia pura
I pensieri delle nostre parole
Sono le parole dei nostri pensieri
Parole della gerarchia
Parole della concorrenza
Parole di tutte le borghesie
Io, tu, loro, esse, lui
Le parole sono attaccate ad idee
Sotto tutele, occorre consegnarle!
Molta gente
Dicono le stesse cose
Con parole diverse
Separazione, raffronto, concorrenza
Molta gente
Dicono cose diverse
Con parole simili, al significato ricorrente
Separazione, raffronto, concorrenza
(Suncus étruscus) il toporagno etrusco
Se straordinariamente piccola, (3 a 5 cm/2 g) che qualsiasi parola lo urti
A ciò che è, qualsiasi parola trucca!
Come la gente di notorietà
Chi dovrebbero denunciare tutte le diseguaglianze
Anziché dispiegarsi
Ciò che dimostra una complicità venale!
Tutto e questo sembra nello spettacolo
Destinatario, alla sua critica, rilutta!
Tutte le prostituzioni
Nascono dalla miseria materiale
Emozionale e sessuale
Poiché occorre mangiare
Occorre bere, occorre fornicare
E così, lavorare è un obbligo
Lavori forzati in perpetuo
O allora è la deportazione
Nella disoccupazione, nella povertà, nella prigione, nella mendicità
Ma se ne sgranocchiamo
Certamente ci taciamo!
La sessualità calmata e fatta sbocciare
Eccetto nell’anarchia
È per ricchi
O allora, ciò sarebbe l’anarchia
Tutte e tutti nello stesso posto adatto!
Scienziati, artisti, sportivi, vedette
Complici del capitalismo in festa
Di tutti gli orrori, e sono il debito
La menzogna spettacolare si legge sulle loro teste
E che senza aggrottare le sopraccigliae è al suo ascolto
Non fa che tracciare la sua strada
Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) impasse dice l’ospite “su hiway.fr„