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Eschatologie stochastique

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Tout ce gaspillage d’argent
Le scandale des médicaments
Du Plavix, 37,11 euros, en France
18,23 euros en Italie, ô insolence
Et pour tant d’autres, l’administration ose
Car c’est souvent la même chose
Le plus odieux
C’est le Lucentis à 895 euros
Alors que l’Avastin à 25 euros
Contre la DMLA est aussi efficace
La pièce aux deux mêmes faces
Ce qui est un coût de 380 millions d’euros
Pour la sécurité sociale en France
Et tant d’autres outrecuidances
Ce qui fait des milliards d’euros
Tout cela
Pourrait être distribué
A toutes les pauvretés
Tout cela
Pourrait servir à embaucher
Du personnel formé et bien payé
Mais le capitalisme
Ne sait faire que dans l’illogisme
Ne sait plus gérer son capitalisme
Qui aboutit à son inéluctable logique
Gangstérisme du profit, cynique
Comme un tueur en série, pas empathique
Et toujours le fascisme
Dans les cervelles vides
Facile à comprendre, impavide
Et toujours le même cataclysme
De la jalousie, de la mesquinerie
De l’inculture, de la haine qui vomit
Et pourtant, la vie sur Terre
Un coup de chance cosmique
De la loterie astrophysique
Tant et tant de probabilités, pour le faire !
Mars pas la bonne taille
Peu de choses, pour que la vie s’en aille
Vénus trop chaude, si près du soleil
Et la vie a fait sans elle
Notre Terre orbite autour du soleil
A 100.000 km/heure, ce sont nos ailes
Personne n’est donc dans l’immobilité
C’est là le paradoxe de l’équanimité
Et 200 milliards d’étoiles dans notre voie lactée
Et pourtant, peut-être pas la vie
Voilà le charme de la spectrométrie
Tout dépend de la zone habitable
Ni trop proche, ni trop loin, fréquentable
Alpha du centaure et ses deux corps
Deux planètes Terre, c’est trop fort
Et si en zone habitable
Et si cela n’est pas une fable
De toutes façons
Si l’énergie sombre
Continue son accélération
Cette infatigable expansion
L’univers finira en évaporation
Après sa déchirure, après sa dislocation
La matière noire
Sans plus aucune cohésion
Plus de colle, plus de gravitation
Tant que ces deux phénomènes
Se tiennent la main
Tout va très bien
Mais arrive la discorde, le déséquilibre
C’est la fin, plus rien ne vibre
Dans cinquante milliards d’années
Heureusement c’est très éloigné
Et puis au fond
Ce ne sont que des spéculations
Qui au fil des années, subissent de singulières variations !
Mort thermique, l’univers glacé
Mort toute évaporée de même absurdité
Et pourtant notre Saturne
Dont la lumière met une heure
Pour nous parvenir, ainsi qu’à notre petite lune
En jours, en années, en heures
Tout naît et tout meurt
Comme la lumière émise par Andromède
2,3 millions d’années lumière pour nous parvenir
Le passé qui ne cesse de finir
Nous ne savons que dalle
La vie, la mort, peau de balle !
De l’infime bidule, tous les machins
Comme les 30.000 espèces d’acariens
Cela n’est pas rien
Aux étoiles de l’au-delà
Face à tout cela
Il faudrait profiter de la vie
Avec le plus grand fracas
Justement, ne jamais baisser les bras
Puisqu’il en est ainsi !
Et ne pas dire que cela va
Quand le moral est à l’agonie
Mais qui veut entendre cela ?
Personne, et c’est ainsi
Ainsi se fabrique l’automatisme, ça va, ça va, ça va
Personne n’allant vraiment bien
A qui se confier ? et personne ne dit rien
Cela va, ça va, ça va, ça va, ça va
Comme l’aurait dit feu ( 1944 – 1986 ) Michel Colucci
Finalement, bouffon, pas si greluche !
Cela ne va pas, c’est interdit
Pas de place, c’est fini
En ce domaine, c’est le même rififi
Et au fond c’est de la stochastique
En tous domaines, logique de l’illogique
Paradoxe de la société informationnelle
Qui produit du choc en retour, du déficit informationnel
Je sais ceci, tu ne sais pas cela
Tu ne sais pas ceci, je sais cela
Et nous faisons les fiers- à- bras !
Quoi que nous fassions
Des jalousies nous créons
Avec nos manies acquises de la comparaison
Toutes les rivalités, toutes les détestations
A ceux et celles
Q’un identique pacte scelle
Dans la détestation de mes textes
Mon indifférence est experte
Nous ne sommes pas sur la même route
Cela ne fait aucun doute !
Les scientistes
Sont des religieux
Pour eux, pour elles, la science c’est dieu
Refroidir le climat
La technologie y pourvoira
Nos trains de vie ne sont pas négociables
Pour un capitalisme fréquentable !
Formater Mars, plutôt la Terre
L’urgence des gaz à l’effet de serre
Bientôt, quatre degrés de plus, il faudra le faire !
Et qui va gérer le climat ?
De l’anthropocène en si mauvais état
Je donne ma langue au chat
Mais certainement, une dictature démocratique, pour cela
A l’avance programmée, on en discute déjà !
Voilà la géo-ingénierie pour que rien ne soit fini
Et toujours le football, soupape de sécurité
L’Italie fasciste qui sut remporter
En 1934 et 1938, deux coupes du monde
Sa griffe avait déjà su imposer !
L’espèce humaine est une anhédonie
L’espèce humaine éructe de la tragédie
De toute vie sur Terre, elle fait le gâchis
Baleines, cachalots, plancton
Tout massacrer, tout faire disparaître
Les crétins et crétines, ainsi font, font, font
Faire du profit, partout l’exploitation
Les diverses bourgeoisies
N’aiment pas mes textes
Elles les trouvent infects
Tant mieux !
Jeunes ou vieux
De moi vous n’aurez rien
Mon but est atteint
Si médiocre est notre époque
Tout s’achète, tout se vend, tout est du toc
Toujours baisser son froc
Pour pouvoir faire du troc
Il n’y a qu’un seul espoir
L’anarchie, pour tout revoir !

Patrice Faubert ( 2013 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l’invité sur ” hiway.fr ”

Tutto questo spreco di denaro
Lo scandalo delle medicine
Dello Plavix, 37,11 euro, in Francia
18,23 euro in Italia, ô insolenza
E per tanto altri, l’amministrazione osa
Poiché è spesso la stessa cosa
Il più odioso
È Lucentis a 895 euro
Mentre Avastin a 25 euro
Contro la DMLA è così efficace
La parte alle due stesse facce
Ciò che è un costo di 380 milioni di euro
Per la sicurezza sociale in Francia
E tanto di altre tracotanze
Ciò che fa miliardi di euro
Tutto ciò
Potrebbe essere distribuito
A tutte le povertà
Tutto ciò
Potrebbe servire ad assumere
Del personale formato e ben pagato
Ma il capitalismo
Non sa fare che nell’illogicità
Non sa gestire più il suo capitalismo
Chi arriva alla sua logica inevitabile
Gangsterismo del profitto, cinico
Come un serial killer, non empathique
E sempre il fascismo
Nei cervelli vuoti
Facile da comprendere, impavido
E sempre lo stesso cataclisma
Della gelosia, della meschinità
Della mancanza di cultura, del odio che vomita
E tuttavia, la vita su terra
Un colpo di fortuna cosmico
Della lotteria astrofisica
Tanto e tante probabilità, per farlo!
Marzo non la buona dimensione
Poche cose, perché la vita se ne vada
Venere troppo calda, se vicino al sole
E la vita ha fatto senza essa
La nostra terra ha orbitato attorno al sole
A 100.000 km/ora, sono le nostre ali
Nessuno non è dunque nell’immobilità
È il paradosso della équanimité
E 200 miliardi di stelle nella nostra via lattea
E tuttavia, forse non la vita
Ecco l’incanto della spettrometria
Tutto dipende dalla zona abitabile
Né troppo vicino, né troppo lontano, raccomandabile
Alfa del centauro ed i suoi due corpi
Due pianeti terra, sono troppo forte
E se in zona abitabile
E se ciò non è una favola
In ogni modo
Se l’energia affonda
Continua la sua accelerazione
Quest’espansione instancabile
L’universo finirà in evaporazione
Dopo il suo strappo, dopo il suo smembramento
La materia nera
Senza più alcuna coesione
Più adesivo, più gravitazione
Finché questi due fenomeni
Si tengono la mano
Tutto va molto bene
Ma arriva la discordia, lo squilibrio
È la fine, più nulla non vibra
In cinquanta miliardi di anni
Fortunatamente è molto distante
E quindi in sotterraneo
Sono soltanto speculazioni
Chi nel corso degli anni, subiscono variazioni singolari!
Morte termica, l’universo gelato
Morto tutta evaporata di stessa assurdità
E tuttavia il nostro Saturne
La cui luce mette un’ora
Per giungerci, come pure alla nostra piccola luna
In giorni, in anni, in ore
Tutto sorge e tutto meurt
Come la luce emessa da Andromède
2,3 milioni di anni luci per giungerci
Il passato che non cessa di finire
Sappiamo soltanto bandiera
La vita, la morte, pelle di palla!
Di il coso trascurabile, tutti i cosi
Come le 30.000 specie di acari
Ciò non è nulla
Alle stelle di oltre
Di fronte a tutto ciò
Occorrerebbe approfittare della vita
Con il più grande scontro
Precisamente, non abbassare mai le braccia
Poiché ne è così!
E non dire che ciò va
Quando il morale è all’agonia
Ma che vuole intendere ciò?
Persona, ed è così
Così si fabbrica l’automatismo, quello va, quello va, quello va
Nessuno non che va realmente bene
A chi affidarsi? e nessuno non dice nulla
va, quello va, quello va, quello va, quello va
Come lo avrebbe detto fuoco (1944 – 1986) Michel Colucci
Concludendo, buffone, non se greluche!
Ciò non va, è vietato
Pas de mette, è finito
In questo dominio, è lo stesso rififi
Ed in sotterraneo è uno stocastico
In qualsiasi dominio, logica dell’illogico
Paradosso della società informativa
Chi produce dello shock in cambio, del deficit informativo
So questo, non sai ciò
Non sai questo, so ciò
E facciamo i spacconi!
Ciò che che facciamo
Gelosie creiamo
Con le nostre manie acquisite del raffronto
Tutte le rivalità, tutte le avversioni
A quelli e quelle
Q’un patto identico sigilla
Nell’avversione dei miei testi
La mia indifferenza è specializzata
Non siamo sulla stessa strada
Ciò non fa alcun dubbio!
Scientistes
Sono religiosi
Per loro, per esse, la scienza è dio
Raffreddare il clima
La tecnologia vi fornirà
I nostri treni di vita non sono negoziabili
Per un capitalismo raccomandabile!
Formattare marzo, piuttosto se la rintana
L’urgenza dei gas all’effetto serra
Presto, quattro gradi di più, occorrerà farlo!
E che gestirà il clima?
Dello anthropocène così in cattivo stato
Dò la mia lingua al gatto
Ma certamente, una dittatura democratica, per ciò
In anticipo programmato, si discute già!
Ecco la geo-ingegneria industriale perché nulla sia finito
E sempre il calcio, valvola di sicurezza
L’Italia fascista che seppe guadagnare
Nel 1934 e 1938, due coppe del mondo
Il suo artiglio aveva già saputo imporre!
La razza umana è uno anhédonie
La razza umana rutta della tragedia
Di qualsiasi vita su terra, fa il pasticcio
Balene, capodogli, plancton
Tutto massacrare, fare di tutto per scomparire
I cretini e cretine, così fanno, fanno, fanno
Fare profitto, ovunque lo sfruttamento
Le diverse borghesie
Non amano i miei testi
Li trovano ripugnanti
Tanto meglio!
Giovani o vecchi
Di me non vi avrete nulla
Il mio scopo è raggiunto
Se mediocre è la nostra epoca
Tutto si compera, tutto si vende, tutto è del supporto
Sempre abbassare i suoi pantaloni
Per potere fare baratto
C’è una sola speranza
L’anarchia, tutto per rivedere!

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) impasse dice l’ospite “su hiway.fr„


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