Déjà un pied de chaussé
Il y a donc douze mille années
C’était en l’époque du Magdalénien
Si proche, si loin
Une empreinte fossilisée
Qui est là pour le prouver
En Ariège, j’y ai habité, la grotte de Fontanet
C’est une preuve par le fossile fait
Tout est d’hier
Comme avec l’araire
Pour fendre la terre
Rien n’est vraiment d’aujourd’hui
Et c’est une énorme ineptie
De penser le contraire
Et même si
Bientôt des machines moléculaires
C’est comme 30 cm en rapport à la distance Terre Lune
C’est ainsi très fun
Pour dans les corps, guérir
Pour dans les corps, détruire
Car il y a souvent derrière
Toute l’organisation militaire
Car notre société inhumaine est surtout guerrière
Comme toute élection, forcément réactionnaire
De l’individu à la famille
Et sur la planète Terre, c’est la guerre civile !
C’est ce que l’on appelle
Les rapports humains
C’est ce que j’appelle
Les rapports inhumains
Avec les gens qui se parlent de moins en moins
Tout le monde restant dans son coin
Chacun, chacune, sur son rail
Chacun, chacune y a son bail
Et surtout qu’il ne se passe rien
Même dans son rail de sexe
Tout un environnement qui s’y prête
Même dans son rail de boulot
Tout un environnement qui s’y prête
Même dans son rail des loisirs
Tout un environnement qui s’y prête
Même dans son rail des sports
Tout un environnement qui s’y prête
Même dans un rail des sciences
Tout un environnement qui s’y prête
Même dans un rail de ceci ou de cela
Comme un rail de cocaïne, c’est bien ça
J’ai le mien
Tu as le tien
Il ou elle a le sien
Mais cela n’est pas le rail
Que nous voulons forcément
C’est bien cela qui est embêtant !
Sniffer des vagins
M’enivrer de seins coquins
Je pus le faire avec quelques uns
Pas autant que je l’aurais souhaité
L’on est toujours plus ou moins frustré
Oser l’écrire, comme c’est vilain
Et hop, viré de chez ” Mespoemes.net ”
Censuré de partout, c’est pas honnête
Faut bien rêver un peu
C’est que je me fais vieux
Et puis dès la naissance
Je le dis en toute indécence
L’instinct sexuel est castré
Certes
Il n’ y a pas que la sexualité
Mais l’inhumanité en est obsédée
Et à la caisse, il faut passer
Elles sont chères les petites pépées
Seuls les riches peuvent se les payer
Ou alors des gens de notoriété
Dans les hiérarchies, il faut s’élever
La société du profit peut ainsi les récompenser
Tout ce qui génère du fric
Tout ce qui génère du flic
Ne peut que la consolider
Ne peut que la caparaçonner
Et chacun et chacune
Pas l’aucun, pas l’aucune
Avec sa cuirasse caractérielle
Et chacun et chacune
Pas l’aucun, pas l’aucune
Avec sa misère confidentielle !
Salut mec
Tu es de quel rail ?
Gaucho, bolcho, facho, capitalo, anarcho
Salut la nana
Tu es de quel rail ?
Gaucho, bolcho, facho, capitalo, anarcho
Avec des mots particuliers
Avec des maux particuliers
Mais
C’est l’anarcho que je préfère
Mais
C’est le vrai révolutionnaire que je préfère
La vérité n’est pas sectaire
C’est le mensonge qui est sectaire
Mais le pire de tout
C’est de devenir connu
Car là c’est vraiment foutu
Devenir une image, un produit, c’est fou
Et les femelles
Pas forcément les plus belles
Des objets de la concurrence entre mâles dominants
Des hommes connus, des hommes qui ont de l’argent
Le capitalisme est la pire des saloperies
Nous en sommes les vies
Car c’est seulement lui qui nous vit !
L’espèce humaine
N’est pas intelligente
Et le pire ennemi de l’espèce humaine
C’est tout simplement l’espèce humaine
Nous n’avons pas voulu l’anarchie
Mais moi, si, je la voulais, oui, oui, oui
Nous avons l’ineptie et la tragédie
Comme à la prétendue libération
Pour un changement d’oppression
En France
20 à 40 mille femmes tondues
Pour de la collaboration de cul
Mais contre la collaboration économique
Des entreprises, patrons, travailleurs, travailleuses, aucune critique
Ce sont surtout les patrons
Qu’il aurait fallu tondre
Et pas de pauvres femmes
Une vengeance de refoulement sexuel, l’éternel drame
Tous et toutes
Au capital, nous participons
Tous et toutes
Au capital, nous collaborons
De gré ou de force, soit, c’est selon
Ou alors
Ne mangeons plus
L’électricité ne la payons plus
Les taxes ne les payons plus
Ne buvons plus
Ne procréons plus
( je n’ai pas voulu procréer )
Ne votons plus
( je n’ai jamais voté )
Et surtout, ne travaillons plus
( j’ai si peu travaillé )
Ou alors
Se suicider dans un total refus !
De moi, l’on médit
Et avec ce que j’écris
Forcément, l’on me fuit
Forcément, l’on me chie
Toutes les bombes réactionnaires
Tombent d’un seul homme sur le vrai révolutionnaire
Car TOUT est à foutre en l’air
Place, place, place, à la société égalitaire, donc libertaire
Juin 1944 à mai 1945
Les chers bombardements alliés
63000 tonnes de bombes lâchées
Sur la France, et environ 60.000 civils tués
Caen, Le Havre, de la carte, villes rayées
Dommages collatéraux de la zone occupée
Pourtant, chacun, chacune, chez soi, rien n’a changé
Ainsi, en 2013, la population faible d’immigrés
Suède : 15,9 pour cent
Espagne : 14,6 pour cent
Allemagne : 13,1 pour cent
Angleterre : 12,4 pour cent
France : 11,6 pour cent
Italie : 9 pour cent
Mais cela a un petit peu changé, depuis
L’Allemagne ou autre avec le contexte de la Syrie
Vive l’anationalisme
Au poteau tout nationalisme
Et le corail qui est un être vivant
Qui disparaît progressivement
Tout est vraiment relié, décidément
Donc, ne croyez pas à un égarement !
Patrice Faubert ( 2017 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com ) Pat dit l’invité sur ” hiway.fr ”
Già un piede di installato
Dunque dodici mille anni fa
Era nell’epoca del magdaleniano
Se vicino, così lontano
Un’impressione fossilizzata
Chi è là per provarlo
In Ariège, vi ho abitato, la grotta di Fontanet
È una prova con il fossile fatto
Tutto è d’ieri
Come con il araire
Per fendere la terra
Nulla è realmente d’oggi
Ed è una stupidaggine enorme
Di pensare l’opposto
Ed anche se
Presto macchine molecolari
È come 30 cm in relazione alla distanza Terre Lune
È così molto divertente
Per nei corpi, guarire
Per nei corpi, distruggere
Poiché c’è spesso dietro
Tutta l’organizzazione militare
Poiché la nostra società inumana è soprattutto guerriera
Come ogni elezione, inevitabilmente reazionaria
Dell’individuo alla famiglia
E sul pianeta terra, sono la guerra civile!
È ciò che si chiamano
Le relazioni umane
È ciò che chiamo
Le relazioni inumane
Con la gente che si parla sempre meno
Tutti che restano nel suo angolo
Ciascuno, ciascuna, sulla sua barra
Ciascuno, ciascuna vi ha il suo affitto
E soprattutto che non avviene nulla
Anche nella sua barra di sesso
Tutto uno ambiente che si presta
Anche nella sua barra di lavoro
Tutto uno ambiente che si presta
Anche nella sua barra degli svaghi
Tutto uno ambiente che si presta
Anche nella sua barra degli sport
Tutto uno ambiente che si presta
Anche in una barra delle scienze
Tutto uno ambiente che si presta
Anche in una barra di questo o di ciò
Come una barra di cocaina, è bene quello
Ho il mio
Hai lo tengono
Egli o ha il suo
Ma ciò non è la barra
Che vogliamo inevitabilmente
È bene ciò che è scocciante!
Sniffare delle vagine
Ubriacarlo di seni maliziosi
Io pus farlo con alcuni
Non quanto lo avrei desiderato
Si frustra
Osare scriverlo, poiché è sgradevole
Ed hop, trasferito di “da Mespoemes.net„
Censurato di ovunque, non è onesto
Occorre sognare un po’
È che mi faccio vecchio
E quindi fin dalla nascita
Lo dico in qualsiasi indecenza
L’istinto sessuale è castrato
Certamente
C’è soltanto la sessualità
Ma la barbarie ne è ossessionata
Ed alla cassa, occorre passare
Sono costose i piccoli pulcini
Solo i ricchi possono pagarseli
O allora della gente di notorietà
Nelle gerarchie, occorre alzarsi
La società del profitto può così ricompensarli
Tutto e questo genera della grana
Tutto e questo genera del polziotto
Può soltanto consolidarla
Può soltanto ingualdrapparla
E ciascuno e ciascuna
Pas l’ nessuno, non nessuno
Con la sua armatura caratteriale
E ciascuno e ciascuna
Pas l’ nessuno, non nessuno
Con la sua miseria confidenziale!
Ciao tipo
Sei di quale barra?
Gaucho, bolcho, fascista, capitalo, anarchico
Ciao Nana
Sei di quale barra?
Gaucho, bolcho, fascista, capitalo, anarchico
Con parole particolari
Con mali particolari
Ma
È l’anarchico che preferisco
Ma
È il vero rivoluzionario che preferisco
La verità non è settaria
È la menzogna che è settaria
Ma il peggiore di tutto
Di diventare è conosciuto
Poiché là è realmente fosso
Diventare un’immagine, un prodotto, sono pazzo
E le femmine
Non inevitabilmente le più belle
Oggetti della concorrenza tra maschi dominanti
Uomini conosciuti, uomini che hanno denaro
Il capitalismo è il peggiore delle porcherie
Siamo le vite
Poiché è soltanto lui che noi vive!
La razza umana
Non è intelligente
Ed il nemico peggiore della razza umana
È semplicemente la razza umana
Non abbiamo voluto l’anarchia
Ma io, se, la volessi, sì, sì, sì
Abbiamo la stupidaggine e la tragedia
Come pretese alla liberazione
Per un cambiamento d’oppressione
In Francia
20 a 40 mille donne falciate
Per collaborazione di fondo
Ma contro la collaborazione economica
Imprese, proprietari, lavoratori, lavoratori, nessuna critica
Sono soprattutto i proprietari
Che sarebbe stato necessario falciare
E non poveri donne
Una vendetta di rimozione sessuale, il dramma eterno
Tutti e tutte
Al capitale, partecipiamo
Tutti e tutte
Al capitale, collaboriamo
Di gradimento o di forza, cioè, è secondo
O allora
Non mangiamo più
L’elettricità non la paghiamo più
Le tasse non le paghiamo più
Non beviamo più
Non procreiamo più
(non ho voluto procreare)
Non votiamo più
(non ho mai votato)
E soprattutto, non lavoriamo più
(ho così poco lavorato)
O allora
Suicidarsi in un totale rifiuto!
Da me, si sparla
E con ciò che scrivo
Inevitabilmente, me si fugge
Inevitabilmente, me si caca
Tutte le bombe reazionarie
Cadono da un solo uomo sul vero rivoluzionario
Poiché TUTTO è da fottere nell’aria
Posto, posto, posto, alla società egualitaria, dunque libertario
Giugno 1944 al maggio 1945
I bombardamenti costosi combinati
63000 tonnellate di bombe liberate
Sulla Francia, e circa 60.000 civili uccisi
Caen, Le Havre, della carta, città cancellate
Danni collaterali della zona occupata
Tuttavia, ciascuno, ciascuna, da sé, nulla è cambiato
Così, nel 2013, la popolazione debole di immigrati
Svezia: 15,9 percenti
Spagna: 14,6 percenti
Germania: 13,1 percenti
Inghilterra: 12,4 percenti
Francia: 11,6 percenti
Italia: 9 percenti
Ma ciò ha un piccolo poco cambiato, dopo
La Germania o altra con il contesto della Siria
Viva lo anationalisme
Al posto qualsiasi nazionalismo
Ed il corallo che è un essere vivo
Chi scompare gradualmente
Tutto è realmente collegato, certamente
Dunque, non credete ad uno smarrimento!
Patrice Faubert (2017) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com) impasse dice l’ospite “su hiway.fr„