” Les dommages infligés aux classes populaires ne l’auront pas été par hasard ou par
inadvertance. Ce ne fut pas un dommage collatéral après un bombardement tuant
des civils, mais bien un objectif conscient de pure prédation. Comme les multinationales
évasives et frauduleuses, appuyées par des Etats pirates et des banques complices, leur
butin reste considérable, probablement 80.000 milliards de dollars, soit 120 pour cent
du PIB mondial ”
Jean-François Gayraud ( policier, docteur en droit )
Salauds de pauvres
C’est sale, cela pue, un pauvre
L’image de la faim, de la peur
De la panique, de la terreur
De moins en moins de solidarité
De moins en moins d’hospitalité
Certes
Le riche peut se parfumer
Pour dissimuler sa monstruosité
Certes
Le riche peut tout acheter
Du faux amour, de la fausse amitié
Toute femme peut l’admirer
Mais dans sa tête tout est pourri
Le capital est son seul ami
Et tout pauvre, il l’honnit !
Classes laborieuses
Classes dangereuses
Mais cela a été déjà dit
Car rien n’est jamais fini
Si le pauvre
Est l’ennemi du pauvre
Si le riche
Est l’ami du riche
Les riches sont solidaires
Hélas, la pauvreté rend parfois réactionnaire
Car le pauvre est regardé de travers
Et c’est partout sur la surface de la planète Terre
L’administration le maudit
La plupart des fonctionnaires aussi
Pas tous et toutes des nazis
Une voisine de ma mère me le dit
Cela dit, le pauvre est devenu l’ennemi
Il n’a donc le droit qu’à du mépris
Nonobstant
Si toute la pauvreté se révoltait
Si toute la pauvreté s’associait
Toutes les tyrannies, la pauvreté, elle renverserait
Toutes les dictatures, la pauvreté, elle chasserait
Staliniens, fascistes, nazis, démocrates, libéraux, gauchistes
Toutes les figures capitalistes !
La pauvreté serait contre tout
Car la pauvreté est un tout
De la pauvreté économique
De la pauvreté psychologique
De la pauvreté politique
La pauvreté visible
La pauvreté invisible
La pauvreté du capital
Le capital de la pauvreté
Et j’écris toujours le capital avec un petit c
Et voilà maintenant la dictature chinoise
Au capital, une fausse belle ardoise
Agents secrets d’influence à l’étranger
Services secrets partout infiltrés
Et tant de minorités chinoises persécutées
Même et surtout à l’étranger
Des éliminations physiques
Des anéantissements psychologiques
Chantage à la famille, ce que cela implique
Pour en tout se renseigner
Pour pouvoir tout surveiller, tout contrôler
Politique, économique, technologique, psychologique
Aussi dans le domaine linguistique
Ceci n’est pas une pipe
Aurait dit feu Magritte, peintre en costume
Aux apparences, il faut faire la lippe
Dans un avenir déjà posthume !
Mais à l’espionnage industriel
Tous les pays ont la part belle
Certes, la Chine en fait sa poubelle
Et toujours de l’urbicide
Quand toujours le profit, décide
Des villes anéanties
Des villes assiégées
Demain, hier, aujourd’hui
Mais ceux et celles qui n’y sont pas confrontés
Ne se sentent, le plus souvent, pas concernés
Et pour tout le monde, un même procédé
Tout très vite oublié
Comme il y a 66 038 000 millions d’années
Pourtant, il y eut, et sans aucune rivalité
800.000 espèces de dinosaures, pour nous ridiculiser
Mais de l’astéroïde, aucune espèce ne put réchapper
Cent millions de mégatonnes en une minute
Hormis les oiseaux, plus aucune dispute
De la géologie, nous voilà les bizuts
Mais cela reste théorique
L’ignorance rendant tout hypothétique
Le capital est un astéroïde exterminateur
Tout y est souffrance, tout y est terreur
Avant les dinosaures, il voulut les archosaures
Le temps, qui a le temps, est le plus fort !
C’est le capital
Qui est contre tout
Pas le contestataire
Pas le révolutionnaire
Il n’y a pas d’amour
Sous le capital
Il n’y a pas d’amitié
Sous le capital
Et à vrai dire
Moi, j’ose le dire
Il n’y a rien sous le capital !
C’est de la mauvaise imitation
Toujours en panne d’inspiration
Il faut donc changer les mentalités
Qui dans toutes les constructions peuvent s’afficher
Si l’on veut donc changer de société
Pas besoin d’un parti
Le communisme n’a pas besoin d’un parti
Et toujours il trahit
1919, par feu le poète Paul Nougé
Le parti communiste belge fut fondé
Dans tous les pays
Cela a mal commencé
Et la terreur stalinienne fut ainsi préparée
Fascisme rouge, fascisme brun
Vont toujours main dans la main
Mais pour l’anarchie aussi
L’anarchie n’a pas besoin d’une organisation
Sinon, c’est de l’anarchisme, une période de transition !
Mais digressons un peu
Mais rions un peu
Ainsi, il suffit de penser au Rat Terrier
Un chien comprenant 500 mots, bien dressé
Car pour feu le service militaire
Qui de la soumission fut le repère
Pas besoin d’autant de mots
L’on devenait vite un idiot
De l’école prison
De l’armée prison
Pour l’industrie, formatage des pions
Finalement
Aucunement, je ne digresse
La folie du monde, folie ogresse
Toute son organisation nous dresse
Chaque classe avec son dressage
Nichons aguicheurs dans le corsage
Je voudrais tous les téter, je ne suis pas un sage
Mais, attention à la féministe
Gardienne de moralité, sexiste et fasciste
Dont je me fiche pas mal
Avec un soupçon de paradoxal
Comme marque de fabrique du capital
La pauvreté miroir de l’obésité
Fabrication pauvre, où tout est pollué
La minceur miroir de la richesse
Fabrication riche, qui fait la princesse
Mauvaise bouffe ou bonne bouffe
Du malheur de notre monde, l’on pouffe !
Patrice Faubert ( 2016 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l’invité sur ” hiway.fr ”
“I danni inflitti alle classi popolari non lo saranno stato per caso o con
disattenzione. Non fu un danno collaterale dopo un bombardamento che uccide
civili, bensì un obiettivo cosciente di predazione pura. Come le multinazionali
evasive e fraudolente, sostenute da stati pirata e banche complici, loro
bottino resta considerevole, probabilmente 80.000 miliardi di dollari, cioè 120 percenti
del PIL mondiale “
Jean-François Gayraud (poliziotto, dottore in legge)
Mascalzoni di poveri
È sporco, ciò puzza, un povero
L’immagine della fame, della paura
Del panico, del terrore
Sempre meno una solidarietà
Sempre meno un’ospitalità
Certamente
Il ricco può profumarsi
Per dissimulare la sua mostruosità
Certamente
Il ricco può tutto comperare
Dell’amore falso, dell’amicizia falsa
Qualsiasi donna può ammirarlo
Ma nella sua testa tutto è marcito
Il capitale è il suo solo amico
E molto povero, lo disprezza!
Classi laboriose
Classi pericolose
Ma ciò è stato già detto
Poiché nulla non è mai finito
Se il povero
È il nemico del povero
Se il ricco
È l’amico del ricco
I ricchi sono interdipendenti
Purtroppo, la povertà rende a volte reazionaria
Poiché il povero è osservato di attraverso
Ed è ovunque sulla superficie del pianeta terra
L’amministrazione lo maledice
La maggior parte dei funzionari anche
Non tutti e tutte dei nazisti
Un vicino di mia madre me detto
Detto ciò, il povero è diventato il nemico
Ha dunque il diritto soltanto a dispetto
Nonostante
Se tutta la povertà si rivoltasse
Se tutta la povertà si associasse
Tutte le tirannia, la povertà, invertirebbe
Tutte le dittature, la povertà, caccerebbe
Staliniani, fascisti, nazisti, democratici, liberali, di estrema sinistra
Tutte le figure capitalisti!
La povertà sarebbe contro tutto
Poiché la povertà è una totalità
Della povertà economica
Della povertà psicologica
Della povertà politica
La povertà visibile
La povertà invisibile
La povertà del capitale
Il capitale della povertà
E scrivo sempre il capitale con un piccolo c
Ed ecco ora la dittatura cinese
Al capitale, falsa una bella ardesia
Agenti segreti d’influenza all’estero
Servizi segreti ovunque infiltrati
E tante minoranze cinesi perseguitate
Anche e soprattutto all’estero
Eliminazioni fisiche
Distruzioni psicologiche
Ricatto alla famiglia, ciò che ciò implica
Per in tutto informarsi
Per potere tutto sorvegliare, tutto controllare
Politica, economica, tecnologica, psicologica
Quindi nel dominio linguistico
Questo non è un condotto
Avrebbero detto fuoco Magritte, pittore in costume
Agli aspetti, occorre fare il labbro
In un futuro già postumo!
Ma allo spionaggio industriale
Tutti i paesi hanno la parte bella
Certamente, la Cina ne fa la sua pattumiera
E sempre dello urbicide
Quando sempre il profitto, decide
Città distrutte
Città assediate
Domani, ieri, oggi
Ma quelli e coloro che non vi sono confrontati
Non si sentono, generalmente, riguardati
E per tutti, uno stesso metodo
Tutto molto rapidamente dimenticato
Come là ha 66.038.000 milioni di anni
Tuttavia, ci fu, e senza alcuna rivalità
800.000 specie di dinosauri, per ridicolizzarli
Ma all’asteroide, nessuna specie poté sfuggire
Cento milioni di megatone in un minuto
Eccetto gli uccelli, più nessuna discussione
Della geologia, noi ecco i bizuts
Ma ciò resta teorico
L’ignoranza che rende molto ipotetica
Il capitale è un’asteroide sterminatore
Tutto vi è sofferenza, tutto vi è terrore
Prima dei dinosauri, volle gli archosaures
Il tempo, che ha il tempo, è il più forte!
È il capitale
Chi è contro tutto
Pas le contestatario
Pas le rivoluzionario
Non c’è amore
Sotto il capitale
Non c’è amicizia
Sotto il capitale
Ed in realtà
Io, oso la dichiarazione
Non c’è nulla sotto il capitale!
È una cattiva imitazione
Sempre guasti d’ispirazione
Occorre dunque cambiare le mentalità
Chi in tutte le costruzioni possono pubblicarsi
Se si vuole dunque cambiare società
Non necessità di un partito
Il comunismo non ha bisogno di un partito
E sempre denuncia
1919, per fuoco il poeta Paul Nougé
Il partito comunista belga fu fondato
In tutti i paesi
Ciò è male cominciato
Ed il terrore staliniano fu così preparato
Fascismo rosso, fascismo marrone
Vanno sempre mano nella mano
Ma per l’anarchia anche
L’anarchia non ha bisogno di un’organizzazione
Altrimenti, è dell’anarchismo, un periodo transitorio!
Ma digressons un po’
Ma ridiamo un po’
Così, basta pensare al ratto Terrier
Un cane che comprende 500 parole, ben elaborato
Poiché per fuoco il servizio militare
Chi dell’offerta fu il riferimento
Non necessità di altrettante parole
Si diventava rapidamente un idiota
Della scuola prigione
Dell’esercito prigione
Per l’industria, formattazione dei sorveglianti
Per finire
In nessun modo, digresse
La pazzia del mondo, pazzia ogresse
Tutta la sua organizzazione li elabora
Ogni classe con il suo addestramento
Nidifichiamo provocatori nella blusa
Vorrei tutti popparli, non sono un saggio
Ma, attenzione alla femminista
Custode di moralità, sessista e fascista
Di cui non mi schedo male
Con un sospetto di paradossale
Come marchio di fabbrica del capitale
La povertà specchio dell’obesità
Fabbricazione povera, dove tutto è inquinato
La finezza specchio della ricchezza
Fabbricazione ricca, che fa la principessa
Cattiva comico o buona soffia
Della disgrazia del nostro mondo, si pouffe!
Patrice Faubert (2016) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) impasse dice l’ospite “su hiway.fr„